Jean-Marc a été appelé au Ciel

 

« Serviteur bon et fidèle rentre dans la joie de Ton Maitre » (Matt.25, 23) 

Au retentir de cet appel Jean-Marc a rejoint notre Seigneur après l’avoir suivi jusqu’au Calvaire et avoir été avec Lui sur la croix les derniers jours de sa longue maladie, au cours de la Semaine Sainte. Le Père l’a rappelé à Lui dans l’Octave de Pâques pour le faire entrer, après la croix, dans Sa Glorieuse Résurrection.

Bien que la tristesse humaine ait envahi nos cœurs en ce moment d’épreuve, nous ne pouvons que remercier le Bon Dieu pour nous avoir donné un si fidèle messager.  L’occasion a été la Messe des funérailles  célébrée le 1er samedi du Mois en l’honneur des Cœurs de Jésus et de Marie. Plus qu’une Messe de ‘funérailles’, elle s’est avérée être une Messe d’action de grâce dans la Lumière de Pâques, animée par les chants de louanges préférés de Jean-Marc  et proposés par sa chère épouse; de plus, le témoignage apporté par ses enfants, à la fois d’amour pour leur papa chéri et de fidélité envers le Seigneur malgré l’épreuve, n’a qu’amplifié les fruits du témoignage de vie de Jean-Marc : époux fidèle, père exemplaire, ami sincère qui a vécu dans l’Amour de Dieu, sans hésiter à dire « oui » au Seigneur en toute circonstance de sa vie.

« J'ai mené le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi. Désormais la couronne de justice m'est réservée; le Seigneur, le juste juge, me la donnera dans ce jour-là, et non seulement à moi, mais encore à tous ceux qui auront aimé son avènement. » (2 Timothée 4,7).

le webmaster de Messages du Ciel

 

 

Jean-Marc et son cheminement

 

C'était au 8, rue des Pyrénées à Lourdes. Je cherchais les nouveautés dans la vitrine d'une librairie quand Jean-Marc me fut présenté. J'étais loin de penser qu'un jour, je serais appelé à lui préfacer un livre "d'entretiens directs" avec la Très Sainte Trinité.

Les esprits chagrins se demandent ce que l'on pourrait encore écrire sur notre sainte religion. La Révélation ne fut-elle pas achevée à la mort du dernier apôtre saint Jean ? Cette Révélation n'est-elle pas complète ? Nous savons qu'il n'y a rien à ajouter, rien à retrancher. Il suffit d'approfondir cette mine inépuisable. Tout y est !

D'où vient alors que des âmes inspirées, qui ne voient pas Dieu avec leurs yeux de chair, qui n'entendent pas le Seigneur avec leurs oreilles de chair, écrivent des messages pleins de spiritualité ? Ils entendent les paroles surnaturelles dans leur coeur, aussi claires que si elles frappaient leur tympan, parce que nous appelons "locutions intérieures". Dieu est libre de ses dons et l'Esprit souffle où Il veut; nul ne sait d'où Il vient et nul ne sait où Il va (Jean, 3, 8). Dieu donne ses charismes à qui Il veut sans devoir en rendre compte à personne (cf. Job, 38).

Les exemples foisonnent. Quel Lourdais aurait jamais imaginé qu'une fillette qui ne savait ni lire, ni écrire, pourrait être choisie pour être la messagère de Notre-Dame ? Y avait-il plus pauvre, plus indigente, plus méprisée que cette enfant chétive, malingre, dont le père n'était qu'un "voleur", un paresseux, et qui n'avait pour habitation qu'un taudis humide, insalubre et obscur ?

Rappelez-vous saint Matthieu (11, 25-26) : "Je Te bénis, ô Père, Seigneur du Ciel et de la Terre, d'avoir caché cela (ces richesses spirituelles de l'Evangile) aux Sages (selon le monde, "esprits forts" et orgueilleux) et de l'avoir révélé aux "tout-petits".

Saint Pierre, dans les Actes des Apôtres (2, 17), empruntant le texte suivant au prophète Joël, dit à l'immense foule qui l'écoute : "Le Seigneur répandra son Esprit sur toute chair, alors leurs fils et leurs filles prophétiseront, les jeunes auront des visions et les vieillards des songes".

Ce sont ces messagers qui sont appelés à tenir en éveil les dormeurs invétérés que nous sommes... " Toi, veilleur, crie sans te lasser : éveillez-vous ! " (Isaïe 21) et, saint Matthieu, au chapitre 25, nous rappelle avec insistance de "garder nos lampes allumées " sous peine de s'entendre dire : " Je ne vous connais pas ! ".

 

 

 

A qui s'adressent les écrits de Jean-Marc ?

 

A toutes les âmes qui sont saturées du vide du monde actuel où il y a place à tout, sauf à Dieu. Lui, l'Eternel, Lui, à qui nous devons l'Etre et l'Avoir, en un mot, est chassé de toutes parts, comme si le monde devait tourner sans Lui !

Mais ce vide ne remplit pas le coeur ! Lui a ses raisons que la raison ne connaît pas : l'homme a soif de savoir ! Oui, il veut savoir pourquoi il existe, où l'on va, d'où l'on vient, ce que nous faisons sur cette terre. Dieu seul répond à toutes ces inquiétudes, il suffit de chercher. N'est-Il pas Celui qui se tient à la porte de nos coeurs et qui attend simplement que nous Lui ouvrions, que nous nous convertissions chaque jour un peu plus, que nous nous tournions vers Lui en nous détournant de tout ce qui n'est pas Lui. Travail de longue haleine mais captivant. Quitter les vains bruits de ce monde suppose conversion continue, qui consiste essentiellement dans l'approfondissement de notre Foi. Notre-Dame de Medjugorje lance un appel pathétique à la conversion. Le 26 Avril 1983, les larmes pleins les yeux, Elle dit aux enfants : " La seule parole que j'ai à vous dire, c'est la conversion du monde entier : je ne demande que la conversion... Je souffrirai pour vous, mais vous, convertissez-vous ".

Tenir en éveil des dormeurs invétérés, n'est pas tâche facile. C'est celle pourtant qui a été demandée à Jean-Marc parce qu'en lui, le Seigneur a trouvé un coeur disponible. Mais qui est donc Jean-Marc ? Suivons-le dans son cheminement. Dès l'âge de dix ans, il se souvient qu'il avait soif de solitude toute peuplée de Dieu... A son insu, il méditait !... Un jour, une voix intérieure très nette, lui dit : " Tu aideras les autres ". Intrigué, il prie, il découvre la prière, et grâce à elle, il approfondit sa foi qui le conduit à l'Eucharistie. Il a soif du Pain des Anges.

Il lui faudra attendre ses vingt ans en 1980 pour avoir un contact plus direct, plus profond avec le Seigneur. C'était pendant la réunion d'un groupe de prière. Jean-Marc ressentit subitement la Présence de Dieu si intensément qu'il fondit en larmes. Une grande lumière l'envahit, si éblouissante, si éclatante, qu'il ne l'oubliera jamais plus. Depuis cette date, Jean-Marc est devenu un homme nouveau sorti de son tombeau : Dieu lui est devenu Présence. Un grand désir le saisit alors : comment porter cette Présence de Dieu à un monde où Dieu est devenu le Grand Absent chassé de partout par la perversité du mystère d'iniquité. Par la prière bien sûr, par la parole et l'exemple.

Le 17 Juin 1987, dans un prodigieux mystère d'Amour, la Très Sainte Trinité lui dit : " Ecris ". Depuis cette date inoubliable, Jean-Marc écrit...

 

 

Les messages que vous allez lire, que vous allez approfondir, n'ont pour but que d'éveiller en vous la foi, infusée dans votre coeur à votre baptême, toute petite, comme un grain de sénevé, cette foi que vous avez pour vocation de faire croître jusqu'à devenir un grand arbre, dont parle l'Evangile, cette foi aux trois Personnes divines de la Très Sainte Trinité :

- au Père très aimant, source de toute sainteté ;

- au Fils incarné pour racheter toute chair ;

- à l'Esprit de toute sainteté, qui vient en nos coeurs pour le changer jusqu'à le rendre semblable à celui du Christ et, enfin, le présenter au Père comme une offrande d'agréable odeur...

Merci Jean-Marc, de nous avoir livré vos messages. Nul doute qu'ils contribueront à éclairer, à réchauffer bien des coeurs sur le rude chemin du Ciel !

 

Abbé BERTAINA, prêtre et docteur en théologie.

 

Jean-Marc lors d'une audience privée avec le Pape Jean-Paul II durant sa troisième année de séminaire

 

 

 

Témoignage de Jean-Marc : comment j'ai rencontré Dieu ?

 

Jean-Marc, c'est le prénom que le Seigneur a choisi pour moi et, c'est ainsi que je veux vous parler de mon aventure sur le chemin de la Foi : ma rencontre avec Dieu.

Sachez bien que j'ai hésité avant de vous révéler ce petit récit de ma vie, car je suis de nature secrète, je n'aime pas parler de moi, mais la voix de mon coeur m'a demandé de le faire. Et, de toute façon, comment pourrais-je taire toutes les merveilles que le Seigneur a fait pour moi et qu'Il continue d'accomplir chaque jour ?

(...)

Un jour, exactement le 11 juin 1980, je fus invité à une réunion de prière par une personne que je venais de rencontrer. Et c'est ce jour-là que je fus touché par la Grâce... Ces prières m'avaient profondément ému, je ressentais la Présence de Dieu et j'eus un besoin irrésistible de remercier Dieu de tout mon coeur pour cette joie qui s'éveillait en moi. Or, nous étions plusieurs personnes réunies dans un tout petit appartement et il n'y avait qu'un endroit, où j'étais sûr d'être seul, je m'y retirais donc pour prier bien que ce lieu semblait bien peu propice à cet usage.

Ma prière de remerciement à Dieu le Père fut si intense que j'eus l'impression d'exploser littéralement. Et, en effet, ce fut l'explosion, une explosion de joie, mes larmes coulaient à flots sur mon visage, et pourtant ce n'était pas du tout dans mes habitudes de larmoyer.

Dieu alors se fit connaître à moi par la présence d'une lumière d'une clarté merveilleuse qui inonda tout mon être, corps et âme. En un instant, j'étais un avec cette lumière, tout mon être était lumière. Les yeux fermés je la voyais, j'ouvrais les yeux, elle était toujours là, elle baignait toute la pièce de sa splendeur. J'avais l'impression de ne plus être sur terre, mais au ciel. C'était un instant d'éternité que je ne pourrais jamais oublier.

Avec cette lumière, et cette félicité de la Présence de Dieu en moi, la paix infinie était aussi au rendez-vous et je fus en un instant libéré de toute pensée, comme un lac paisible, sans un remous. Ce fut le vide total de moi-même et le plein de Dieu. Instantanément, Dieu m'a fait passer des ténèbres à sa lumière, me donnant une grande leçon d'humilité par l'endroit qu'Il avait choisi, me faisant comprendre que le temple où Dieu veut être adoré en esprit et vérité est bien le coeur de l'homme, un coeur de chair et non un coeur de pierre.

A partir de cet instant, je n'étais plus le même, je me sentais comme ressuscité, un homme nouveau était sorti de son propre tombeau. J'avais reçu la preuve tangible de l'existence de Dieu, puisque depuis lors, dans ce silence qui m'habite, je vois toujours cette lumière qui brille en moi ou qui se manifeste dans l'endroit où je suis, surtout dans les moments de prière et de détente. N'oublions pas ce chant : "Dieu est Amour, Dieu est Lumière, Dieu notre Père", et nous, ses enfants créés à son image, nous devons lui ressembler.

 

 

 

Repos dans l’Esprit-Saint

 

Depuis qu’il a exercé son charisme de guérison, Jean-Marc est le témoin d'un phénomène qui peut surprendre, le repos dans l'Esprit-Saint. Souvent, dès le premier signe de croix qu’il fait sur le front d’une personne, celle-ci tombe subitement en arrière, inerte. Suite au témoignage de certains, les uns expérimentent une grande Paix, voient une merveilleuse Lumière qui les enveloppe de l’intérieur, d’autres perçoivent aussi un parfum du Ciel et d’autres encore entendent Jésus et Marie leur parler ...

Pour certains, c’est comme si leur âme visitait le Paradis et pour d’autres une libération, un soulagement, une guérison...

En tout cas, il ne faut pas en avoir peur, mais plutôt se laisser aller dans les bras de Jésus, dans la Lumière de l’Esprit-Saint et rendre grâce parce que Dieu veut faire de nous Ses Enfants de Lumière.

La Très Sainte Trinité nous explique que nous sommes aujourd’hui déjà dans la Nouvelle Pentecôte tant attendue qui inaugure la Civilisation de l’Amour, (P.T.S.T Tome 7 page 121) : « Je désire manifester Ma puissance et Ma Gloire et donner aux âmes qui souhaitent Me recevoir : le Don de Mon Saint-Esprit, comme au temps des Premiers Apôtres, dans cette nouvelle Pentecôte d’Amour. »  et Elle nous explique aussi ce signe de Sa Puissance, de Sa Présence qu’est le repos dans l’Esprit-Saint : « Certains se laissent aller dans la Lumière et la Paix de Mon Saint-Esprit, Je les reçois dans Mes Mains Divines et les comble de Mes faveurs. D’autres résistent et ne reçoivent qu’une part de Ma clarté. D’autres encore y puisent de nombreuses grâces, sans que cela ne soit visible. Tout cela est dans le Mystère de Dieu. L’essentiel, n’est pas dans ce qui se voit, mais dans ce qui se vit de l’intimité avec Moi, Votre Dieu d’Amour. »

 

 

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